mes_nouvelles_poesies



mes_nouvelles_poesies_




01_c_est_bien_c_est_mal


Qu'est-ce que l'un et qu'est-ce que l'autre ?
D'une action donnée, peut-être irréfléchis ?
Est-ce une joie, est-ce une larme ou bien une faute,
De recevoir toute action donnée par autrui ?

Si souffrance il y a, l'action n'est pas bonne,
Qui plus est accompagnée de larmes.
Si joie il y a et si l'être rayonne,
L'action est bonne, tendre est le regard de l'âme.

Le mal occasionne de tant de souffrance,
De tant de haine mais aussi de vengeance.
Cruelle est l'action où le sang craché sur le pavé,
Par des forces contraires à celles d'aimer.

Si âpre est le sel, comme le mal,
Si doux est le miel, comme le bien.
Si tendre est le rêve et doux comme un pétale,
Si fort est le cauchemar qui ne conduit à rien.

Où mène le mal dans sa pure logique ?
Où conduit son action de par sa haine ?
Qu'elle est sa légitimité despotique ?
Et où prennent ses racines, dans la liqueur de son âpre vin ?

Mais qu'offre le bien de par son évolution ?
Qu'apporte-t-il dans ce monde si troublé ?
Ne si perd-t-il pas par des êtres écervelés,
Sans amour, sans partage et sans ambition ?

Le bien; pétale de rose dans cette grise humanité,
Porteur du germe d'amour pour avant tout "aimer".
Une caresse d'âme pour des esprits effrontés,
Une plume d'une colombe pour écrire la paix.

Le mal n'a plus sa raison d'être,
Il n'a d'ailleurs plus sa légitimité.
Il n'est là que pour paraître,
Et ses actions sont de vieux clichés.

Il s'essouffle, il s'épuise, il se meurt,
Il offre toujours les mêmes scènes.
Certes, il a le souffle de la terreur,
Mais des bulles de pensées font ombrage à ses desseins.

Le mal est hypocrite, rusé et sournois,
Il attaque telle une bête fauve,
Et montre ses crocs, vieux scélérat,
Tel le serpent mais où le mal se love.

Arriver à ses fins par la facilité,
Telle est la ruse sournoise de l'action malfaisante.
Violer, ôter la vie sans se sacrifier,
C'est si facile à des actions bienfaisantes.

La justice saisi appréciera l'infortune,
De l'action envers autrui.
Mais tu peux craindre la décision posthume,
Qui condamnera ta modeste et courte vie.

Mais un jour lointain, certes, les forces du mal,
S'éteindront de mille bougies de cette planète.
Pour laisser place à un amour final,
Par des champs de blé d'une grande fête.

Nous nous étreindrons d'un amour lumineux,
Sincère et où la vie sera si joyeuse.
Les hommes de demain seront enfin heureux,
Car l'évolution aura gagné nos âmes lumineuses.

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03_coquin_coquine


V'là le printemps pour nous compter fleurette,
Et regardez les dessous des robes frivoles.
Des hommes au jean moulé et aux fesses bien faites,
Se laissent tourbillonner au grès des sens.

Coquin, coquine,
Ce joli printemps nous titille,
D'une frivolité de toute délicatesse,
A montrer son cul ou bien ses fesses.

Comme la nature l'hiver nous a hiberné,
Et telles les fleurs, notre sexe bourgeonne.
Il nous fait émettre des sens d'une jeunesse effrénée,
Et nous v'là léger comme l'air qui nous environne.

Le doux climat printanier nous déshabille,
Et nous aimons à montrer ce qui se devine.
Par un tel appétit je me laisse doucement émousser,
Par des mâles charmants, excitants aux jeans bien moulés.

Dieu que mes appétits puissent-ils être exhaussés,
Afin de tendrement aimer des mâles en queue de cerises.
Je suis l'amour, je suis la volupté et j'aime la bise,
Non celle du vent, mais à ceux qui sont mes doux protégés.

Mes mains cherchent la forme par mes doux désirs,
Et m'aident à prodiguer des caresses subtiles mais virtuelles.
Le but en soi n'est pas de toucher des desseins providentiels,
Mais d'attirer à soi la belle récompense de l'envie.

Le sensuel corps dessiné s'offre et s'émoussent mes sens,
Le linge voile les formes parfaites qui se devinent.
Il est vivant, vivace, coriace et se mouvoie en tout sens,
Répondant à tous les touchés d'une tendresse fine.

Le corps bien roulé et des bras musclés,
Pour des désirs inavoués en secrets.
Des cuisses parfaites en guise d'entremet,
Et un seul membre au garde à vous d'un dessert sucré.

La semence assurée sera l'onctueux nectar, le délice,
De celui qui l'aura si généreusement offert.
Mais l'on ne plaindra pas la douce main du calice,
Par qui le printemps à tout laisser faire.

Coquin, coquine,
Je suis l'amant et la menthe.
Coquin, coquine,
C'est le printemps qui se lamente.

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03_pas_de_nostalgie

Les années passent,
Au fil du temps.
Les albums s'accroissent,
Souvenirs d'antan.

Les vents ont tourmentés ma mémoire,
Le temps a survolé mes tendres années.
Tout cela n'est que du provisoire,
Mais les photos, elles n'ont point changées.

Pas de nostalgie, pas de regrets éternels,
Laissons les photographies emprisonnées,
Avec le temps qui lui se rebelle,
Pour amorcer la vie inchangée.

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04_a_qui_pour_qui

A qui profite la misère ?
A qui profite la pauvreté ?
Manipuler des foules entières,
Pour quelques esprits écervelés.

La planète a suffisamment de ressource,
Pour équilibrer tous ces êtres vivants.
Lui donner tous ses biens jusqu'à l'eau de source,
Jusqu'à ce que l'homme trouve le néant par l'argent !

A qui profite le crime ?
A qui profite le viol ?
L'amour est une essence divine,
La haine est un poison au vitriol.

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05_a_toi_gandhi

Du bleu pays de ton nouveau ciel,
Ton âme conscientise ta nouvelle demeure.
Tu devines les cris, les enfantements et les douleurs,
Que le monde unique a je crois sous ton aile.

Malgré les combats, le mal et la haine,
Le refuge d'espoir n'est hélas point dans l'amour.
Car les hommes l'ont oubliés au fond de leur peine,
Où les larmes rougissent, sombrent dans le flou.

L'humanité n'est pas celle que tu voulais,
L'humanité par la religion n'est hélas guère mieux.
On ne sait à quel Saint se vouait,
Et qu'elle prière pour interpeller Dieu ?

Où prie ton âme en cet instant ?
Entend-elle ces mots sur le papier ?
Quel amour offert à ce pauvre néant,
S'il ne reconnait pas le trésor caché ?

Gandhi mon frère, mon ami, mon ainé,
Toi qui connais les régions de la lumière éthérée.
Toi qui connais les raisons d'un monde encore mal aimé,
Enseigne à l'âme du monde à mieux enfanter la paix.

Les hommes ont un coeur dur comme la pierre,
Et leur orgueil étouffe leur propre âme.
Souffle ton amour d'un océan de prière,
Pour guérir les plaies de chaque drame.

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06_besoin_d_amour

J'éprouve ce besoin d'amour,
Comme on aime un enfant.
De la tendresse d'antan,
Dès maintenant et pour toujours.

Mon corps lui seul a grandi,
Et l'enfant est désemparé,
Redonnez-moi la tendresse de jadis,
Que j'ai sottement égaré.

Replongez-moi dans mon enfance,
Quand il faisait si bon à la maison.
Redonnez-moi mes rires, mon insolence,
Lorsque j'étais tout petit garçon.

J'étais dans une famille nombreuse,
J'étais aimé et surtout point seul.
Que d'écart important se creuse,
De l'enfant à l'homme bon pied, bon oeil.

Pourquoi ce vide, cette absence
D'amour dans ma vie d'homme ?
Pourquoi tous ces longs silence,
Sans une tendresse au coeur qui ne raisonne ?

Pourquoi ce destin, ce hasard divin,
M'ont-ils tout simplement oubliés ?
Moi qui ne suis qu'amour et demain,
Je suis plus que capable de l'aimer.

Cet ami, ce compagnon, cette présence,
Que je cherche dans la route de la vie.
Et cette attente pesante, telle une semence,
Se perd au fin fond de l'oubli !

Le temps est-il une déchirure, un sursis ?
Un Noël qu'on aurait peut-être oublié ?
De longues vacances à n'en plus finir,
Pour un ami, jamais hélas rencontré.


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07_ni_commencement_ni_fin

Que penser de la vie, de la mort et de l'éternité ?
Comment évolue-t-elle la vie sur cette planète ?
L'homme est si petit et pense dans un espace clos,
Il ne peut concevoir l'immensité de l'Univers,
Et encore moins de son éternité !

Il ne peut comprendre Dieu,
Il ne sait d'ailleurs même pas le saisir,
Ou si peu...

L'Univers, n'a jamais eu ni de commencement,
Ni de fin d'ailleurs.
Peut-on l'entendre et le comprendre ?

Le monde incarné nous oblige à penser,
Comme dans un film de cinéma.
Ce que nous pensons sur Terre,
N'est pas forcément valable pour l'Univers ?

Mais l'Univers dépasse de bien loin,
Toutes formes d'intélligences que nous connaissons
Dans notre seul et unique monde.
On peut donc largement imaginer notre diversité,
D'êtres vivants peuplant notre Terre,
Muliplier par milliards dans l'Univers.

Notre âme incarnée s'est moulée,
Dans un corps de matière,
Mais sa véritable identité c'est sa conscience,
Qui a été créée par le Divin.
Celle qui est soumise à la densité de la matière,
Pour sa propre et longue évolution.

Rappelons que le monde incarné,
Celui de la matière est un espace clos,
Et donc limité, très limité.
Mais l'Univers, cet espace infini,
N'a aucune limite, n'a aucune frontière,
Il est bien au-delà de l'immensité,
Il est libre et donc sans fin.

On aura beau additionner des chiffres et des lettres,
Etablir des calculs les plus savants du monde,
Notre âme restera toujours notre âme,
Cette perle magique, cet éclat de diamant,
Celle qu'on ne voit pas, mais qu'on devine,
Qu'aucun scientifique n'a encore trouvé à ce jour,
Mais que les artistes, les poètes, les penseurs,
Et tous les philosophes ont su un jour reconnaitre.

La plus belle des relations que nous pouvons,
Entretenir avec notre âme ;
C'est par le langage du coeur,
C'est par le langage de l'amour,
Car c'est la relation directe avec notre âme,
A N'EN PAS DOUTER.
N'oublions pas, c'est notre authenticité !
C'est ce que nous sommes réellement.
Mais hélas gommé par notre égo,
Qui se suffit à lui-même,
Par notre petit orgueil, cela ne nous aide pas,
Et par notre esprit bien trop parfois rationnel.

L'âme se reconnait dans cette énergie amoureuse,
Mais c'est normal, c'est son origine,
Dieu l'a créée ainsi, ainsi que toutes choses,
Et l'immensité de l'Univers.

Dieu a propulsé son amour dans toutes ses créations,
Dans toutes ses créatures,
Dans toutes ses intelligences et l'évolution,
Fait parti de son immense amour.
C'est notre route et nous là suivons,
Indubitablement !

Quoi que nous faisons et quoi que nous pensons,
Nos vies sont comme dans une trame divine,
Mais nous l'avons oubliés.

Hé oui, Dieu est amour,
Mais nous l'oublions encore trop souvent !
Et nous sommes loin encore sur la route de la Vie,
Pour le rencontrer...

Mais il est en nous !
Par notre âme.

Aimons-nous, dans notre authenticité,
Cessons nos enfantillages, nos guerres inutiles,
Regardons par notre coeur, sachons nous aimer,
Nous respecter et sachons faire la paix.
Celle qui mène à la fin de tous les conflits,
A la réunification de tous les peuples,
De tous les peuples frères,
De toutes leurs religions,
De toutes les races et de toutes les différences.
Mais au fait, sans différences où serait la diversité ?

Oui, aimons-nous comme cela,
Et nous le rencontrerons, un jour.

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08_conscience_d_amour

Aimer plus que toujours,
Aimer plus que jamais.
Ne pas écouter les oiseaux fous,
De ceux qui volent sans savoir voler.

N'écoutez pas le bruit de la haine,
Celle qui vomit tant de violence.
Mais cherchez dans votre coeur la seule fontaine,
Qui nourrit toute âme et toute conscience.

Ne croyez pas le bruit de vos médias,
Comme un seul son de cloche.
Car tous les fous sont des rois,
Et n'ont pas leur langue dans leur poche.

Méfiez-vous de ceux qui portent leur souffrance,
Comme une seule et même vérité.
Car trop victime ils sont bourreaux ces écervelés,
Et font perdre en eux comme en vous toute confiance.

Ne cherchez pas la vérité dans vos magazines glacés,
Qui pullulent et qui ne diffusent aucun message.
Car des vérités sont des mensonges éhontés,
Vaut mieux chercher l'amour que de feuilleter leur page.

Ne cherchez pas dans les fausses apparences,
L'illusion bancale, une sorte de mirage,
Qui serpente ou miroite des fantômes images,
Et qui n'ont d'ailleurs aucune consistance.

Ne suivez pas le chemin tout rocailleux,
De celui qui n'a jamais été emprunté.
Mais celui par qui le paysan l'a labouré,
Et dont le sillon est un chemin lumineux.

La vérité, voyez-vous n'est pas écrite dans vos livres,
Ni dans une belle structure toute dorée d'or.
Non, elle est dans le sourire de la joie qui rend ivre,
Au fin fond de votre conscience comme un joli trésor.

La vérité, voyez-vous, elle est dans le sourire de vos enfants,
Elle est la caresse de votre si belle humanité.
Elle est la paix que j'ai tant souhaité ardemment,
Alors, cherchez-là en vous-même afin de la conscientiser.

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09_le_cycle_de_la_vie

 L'existence est un éternel recommencement,
Point de monotonie et point de silence.
Ici est l'été, ailleurs est le printemps,
Ici les sécheresses, ailleurs les pluies donnent l'abondance.

Les saisons offrent la beauté et le charme,
Les couleurs, les paysages et la profondeur
Du bleu ciel dont l'azur est son âme,
A l'immense océan, aux forêts et aux fleurs.

La vie ne connait point de tristesse,
Elle est un élan de tant de générosité.
Elle est une oeuvre qui se modèle sans cesse,
Et fait grandir les profondeurs de l'immensité.

La vie, la mort, les naissances,
Sont le berceau du recommencement.
Tout gribouille car tout est mouvance,
Et tout se confond dans l'azur du firmament.

Les plaines et les montagnes,
Sont les reflets de la Terre ondulée.
Le feu et la glace accompagnent,
Une harmonie parfaite et tempérée.

La nuit, le jour, le temps,
Sont l'équilibre de ce monde.
Où évoluent des êtres tous différents,
Dans une distincte course dans la même ronde.

Des espaces immenses et liquides,
Aux espaces somptueux et limpides,
La Vie a trouvée son refuge,
Et par son essence, offre son effluve.

Les Hommes font partie de cet espace limpide,
Ils évoluent ici et là tant bien que mal.
Ils croissent sur ce gros cailloux solide,
Et leur intelligence les portent vers le salut final !

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10_la_chose

La poésie, voyez-vous, c'est le haut,
Et en bas, croyez-moi, il y a la chose.
Il faut harmoniser ce qui rend beau,
Pour en comprendre vraiment la chose.

Mais quand le bas est au garde à vous,
Il faut très vite secourir la chose.
Il faut prier et se mettre à genoux,
Et trouver les mots qui sont en prose.

La poésie en pareille situation,
Voyez-vous, on en perd ses mots.
Le corps jouissif réclame toute attention,
Car la chose, bien délicate n'est point au repos.

Les plaisirs de la chair ma foi, laissent à désirer,
Une fois le corps repu, sombre dans le sommeil.
Mais ceux de la chose offrent de la subtilité,
De la finesse et qui laissent tout en éveil.

Les mots qui jaillissent ; hum... oh oui...
Ne sont hélas pas de l'âme ; elle est en vacance.
La chose a du mordent envers autrui,
Et il est bon de croquer la vie, sans conscience.

Il faut laisser monter la verve romantique,
Afin que puissent jaillir les mots de l'esprit.
Mais la chose attaché au corps physique,
Lâchent ses maux d'un désir assouvi.

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11_l_islam

Tu es une porte, une étoile et tu brilles depuis longtemps,
On t'a écrit, on t'a façonnée, on t'a donné une image.
En ton nom on t'a aimé, on a tué, on a versé ton sang,
Des peuples t'ont portés, t'ont embrassés et t'ont mis en cage.

Toi seule est l'âme du monde mais l'homme s'est emprisonné,
Il a cru en te portant s'ouvrir à toutes les libertés,
Mais il a servi à l'asservissement au lieu de la bonté,
Il a fait naitre l'esclavage, le racisme et il t'a oublié.

Il s'est donné de fausses directives, il s'est enchainé :
Au paraitre, aux apparences, aux mirages, il y croit encore.
Il s'est détourné de toi par folle ambition démesurée,
Il aime les prisons pour emmurer les libertés qui lui font tort.

L'homme se cherche ou croit se chercher,
Il est le chef surpême d'une grande religion,
La tienne peut-être et il croit très fort à son autorité,
Mais en fait ce qui le guête, c'est la désillusion.

Hommes et femmes sont poingts et mains liés,
Et sont soumis hélas à leurs directives.
Ils n'ont point goutés à ta juste liberté,
Toi pourtant l'amie d'une âme sélective.

Une Islam qui se cache ou qui se voile,
C'est éteindre la lumière de son étoile.
Mais toi, tu es une étoile !

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